Cinemafantastique vous propose une critique jeune des films les plus vieux au plus récents traitant du fantastique dans sa globalité. Horreur, gore, fantômes ...
Cette bisserie assumée se montre alors, passé cette phase de d’exposition, comme un énorme portnawak particulièrement calibré pour une séance de minuit de festoche. Très généreux, Dead Ant offre au spectateur son comptant de gnons, de what-the-fuck, de fourmis numériques et de rockeurs craignos. Le cahier des charges est indéniablement rempli malgré quelques facilités d’écriture et des effets comiques qui manquent parfois le coche.