Cinemafantastique vous propose une critique jeune des films les plus vieux au plus récents traitant du fantastique dans sa globalité. Horreur, gore, fantômes ...
Quentin Meignant
Hormis quelques séquences où il perd un peu de vue son concept, Adam Rifkin parvient à conserver la folie de son pitch de base du générique de début au post-générique de fin. Rien que pour cela, l’exercice a un sacré style et, dans un dernier acte totalement dingue, le film vire littéralement à la régalade.
Benoît Levenkron
Un Crowdfunder complètement cintré s’approprie, modifie et diffuse en festivals le film d’horreur qu’il a en partie financé, il ira même jusqu’à en kidnapper l’actrice principale. Regorgeant d’humour, de contrepieds fulgurants, débordant de références cinématographiques en tous genres, ce sympathique méta-movie ne se prend jamais au sérieux - contrairement au narrateur qui vous accompagnera pendant 90 minutes - mais se permet malgré tout d’offir à son assemblée une belle leçon de technique cinématographique, entre-autres.
Avec des apparitions bien cocasses telles celles de Ron Jeremy, Lin Shaye et autres Bree Olson, Director’s cut s’impose comme un must du genre mais qui ne pourra malheureusement faire rire (aux éclats) que ceux qui ont un minimum de connaissances cinématographiques.