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Une boucle temporelle plutôt sympa visuellement et qui parvient à intriguer pendant trois quarts d’heure. Passé ce laps de temps, The Fare se répète malheureusement beaucoup trop et donne lieu à un final fleur bleue bien décevant.
Difficile de surprendre avec le principe de la boucle temporelle, déjà parfaitement exploité dans des productions telles qu’Un Jour sans fin ou le moins connu mais très bon The Infinite Man, présenté au BIFFF il y a quelques années. Le concept fonctionne relativement bien ici, mais la deuxième partie s’embourbe dans un romantisme niais au goût de guimauve. Attention à l’indigestion.
Damien Taymans
Avec son huis clos dans un taxi parcourant sans cesse les mêmes paysages, The Fare se la joue dans un premier temps façon Un jour sans fin avant d’atteindre un twist aussi original que capillotracté. Hélas, la réalisation et la photographie sont en deçà, au niveau des acteurs assez peu inspirés.
Ce huis clos nous entraîne le long d’une route déserte dans un taxi où deux personnages se rencontrent. 100 fois. Le film est long et les dialogues sont soporifiques. Mais le dernier tiers offre une réinterprétation qui n’est pas déplaisante et qui donne à l’oeuvre une toute nouvelle saveur.