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De ce dédale scénaristique émerge une vraie volonté de s’affranchir des canons hollywoodiens et un soin tout particulier apporté aux effets visuels et à la photographie sublimant une Russie pittoresque. Pour autant, The Soul Conductor n’est pas exempt de défaut : trop riche, le scénario expédie certains pans de sa narration qui auraient mérité un meilleur traitement comme cette relation entretenue avec des âmes, comme l’héroïne, en quête de rédemption. En résulte une œuvre trop généreuse dont le dénouement laisse incontestablement sur la faim en raison de son incapacité à résoudre certains mystères.
Quentin Meignant
Visuellement magnifique, The SOul Conductor ne peut compter que sur son aspect esthétique pour séduire car, pour ce qui est de l’écriture, les choses se corsent rapidement. Un scénario trop dense et mal utilisé vient totalement saper les qualités techniques de l’ensemble et le rend difficilement lisible.