Cinemafantastique vous propose une critique jeune des films les plus vieux au plus récents traitant du fantastique dans sa globalité. Horreur, gore, fantômes ...
Sébastien Brunclair
Rarement aura-t-on déploré la courte durée d’un film présenté au BIFFF, de nombreux représentants du catalogue 2017 ayant une fâcheuse tendance à s’éterniser. Mais The White King a bien trop de choses à raconter et de thèmes à explorer que pour tenir sur un peu moins d’1H30, la conclusion paraissant expédiée (par manque de moyens ?). Il faut dire qu’on s’attache sacrément à ces personnages, dont ce tandem mère-fils brillamment interprété, pris au piège dans un régime totalitaire ; on aurait volontiers passé un peu plus de temps en leur compagnie. Pour une fois, c’est sincère : vivement le 2.
Damien Taymans
The White King laisse la même impression que Coeurs perdus en Atlantide : un film prenant, intrigant, réalisé avec minutie et interprété avec talent mais... globalement inachevé. Cette adaptation d’une adaptation laisse une sensation de trop peu, le cinéaste souhaitant visiblement placer autant de scènes que possible dans son œuvre.