Cinemafantastique vous propose une critique jeune des films les plus vieux au plus récents traitant du fantastique dans sa globalité. Horreur, gore, fantômes ...
Inquiet pour la santé de sa fille autiste, le père voit comme seule option un enlèvement de l'hôpital par la force. Une panne d'ascenseur empêche une sortie en douceur et les emprisonne avec d'autres. Pourtant l'incident est seulement le commencement d'une descente dans le cauchemar. Alors que les portes s'ouvrent, l'hôpital semble mystérieusement abandonné. Quand des corps mutilés sont trouvés, les créatures venant d'un monde obscur commencent une attaque effrayante. Il apparaît bientôt clairement que la survie du groupe repose seulement sur la petite fille.
Inquiet pour la santé de sa petite fille autiste, Ben va la quérir à l’hôpital et décide de la ramener à la maison afin de l’extirper aux mains de ses bourreaux. Mais un incident technique vient chambouler ses plans. L’ascenseur, après moult soubresauts, délivre ses six occupants dans un couloir désert. Médecins et patients ont apparemment disparu, seuls restent… des monstres qui surgissent au p’tit bonheur la chance pour attaquer l’équipée de survivants…
Spécialiste en effets spéciaux, Lordi décide finalement d’embrasser la carrière musicale en poussant de temps en temps des gueulantes sur fond cacophonique, de préférence devant un micro. Bien lui en prit puisque le chanteur le plus grimé au monde (non, pas primé, ça se saurait) remporta le Grand Prix de l’Eurovision (Anglovision ?) en 2006,
sacrant du même coup pour la première fois la Finlande, certainement jalouse de ses cousines suédoises et danoises qui raflent les récompenses dans ledit concours depuis sa création. Partant d’une idée de Lordi himself, Dark floors est un film d’horreur aussi conventionnel qu’atypique. Conventionnel parce que, de bout en bout, le métrage se contente de planter une faune des plus habituelles (le père et sa fille, la jeune femme bien sous tous rapports, le méchant que c’est bien fait qu’il meurt et le flic noir qui ne sert à rien) et d’aligner une kyrielle de clichés propres au genre qui nous intéresse sans chercher à s’en détacher. Des couloirs déserts et inquiétants d’un hôpital abandonné au rôle prépondérant de la petite autiste qui ne fait que crayonner sur sa feuille en passant par les deux jeunes gens qui s’éprennent doucement l’un de l’autre, tous les ingrédients du flick aseptisé sont réunis. Atypique parce que, mine de rien, Dark floors propose quelques idées saugrenues qui, si elles ne fonctionnent pas toujours, ont au moins le mérite d’exister et de donner un peu de saveur à cet ensemble fadasse (la course des couloirs se transformant en boucle temporelle via les interphones ou le coup de feu des escaliers).
Normal finalement puisque le film lui-même n’est tout simplement que le jouet de Lordi qui caresse, pour la modique somme de 4 millions de dollars, un rêve de gosse en figurant au casting d’un film d’horreur né sur une idée de lui, avec des musiques de lui (que deux, heureusement !) et où le monstre, c’est lui. Dès lors, peu importe que l’œuvre soit un rejeton bâtard des imaginations débordantes de sept scénaristes différents (!!) qui intégrèrent chacun leur propre vision de l’histoire, quitte à faire apparaître, en une heure et demie à peine et dans un
même lieu, des fantômes, des morts-vivants et des monstres, afin d’incorporer le maximum du bestiaire horrifique (quitte à donner des joujoux à Lordi, autant lui offrir l’arsenal complet). Qu’importe si l’intrigue se mord continuellement la queue en prenant volontairement le spectateur pour un con via une répétition lassante de séquences identiques (l’appel de l’interphone, les attaques des monstres en présence de la gamine). Qu’importe ces « menus » défauts puisqu’en fin de compte, le spectateur a ce qu’il voulait, un Lordi maquillé jusqu’à l’os et sa bande de joyeux drilles (Joyeux, Simplet, … euh, non, Kita, Amen, Ox et Awa), qui surjouent à l’envi en hurlant à la mort à chaque apparition d’un morceau de barbaque qui se dandine.
Dark floors bénéficie d’une photographie impeccable et impose, lors de son entame, une atmosphère hospitalière inhospitalière. Passé cette entrée, le métrage se borne à une accumulation d’effets (gags) involontaires qui conforte assurément dans la certitude que le cinéma est une affaire de professionnels.
ce film a une bande annonce plutot interessante mais des que le film commence on se fait deja chier, le casting est médiocre l’histoire est juste infantile , c’est de la pure merdasse franchement gacher autant d’argent pour faire un truc aussi nul c’est inhumain !!! c mme degeulasse en pensan aus petits réalisateur et scenariste qui doivent quasiment faire la manche pour financer de vrais projets !!!
Ni mauvais, Ni super.
Par contre pour l’autre zigoto au dessus j’ai juste envi de dire mais tai toi merci ^^
film super drole , cetai pa prevu comme ca !!
une merde !!
a évité
J’en ai vu des " daubes " style le film " Solstice", "darkness", ou les differents remake de ces derniers temps...Mon coup de coeur est exagéré comme certains propos négatives sur cette page de commentaires.J’ai bien aimé l’ambiance du film ( bien que j’aime les films d’actions bourrins) Il y a des bonnes idées dans ce metrage, la preuve est que les gens qu’ils l’ont vus se posent des questions sur le deroulement de l’histoire...et ce sera toujours moins chiant que " le village" pour moi...
J’ai trouvé que les critiques du film ne reflettait pas la réalitée. A croire que les gens d’aujourd’hui ne pense qu’aux scènes ou il y a du sang, des filles a poils qui se fond tuées..etc...
Pour ma par, j’ai trouver ce film extrêmement bien, je me suis particulièrement attacher a la "jolie" infirmière qui faisait partie du groupe dans le film. Bref..
On est dans une ambiance un peu glauque qui au fur a à mesure (pour les connaisseurs) vous plongera dans l’univers de Silent Hill (le jeu). Les acteurs sont très bon, On est encrée dans le film, on se questionne tout le long du film, un excellent film. Mais il y a quand même quelques défauts qui hélas gâche cette excellent film, l’idée des monstres mutants détruit tout, la scène de fin est plutôt décevante et on souhaiterais avoir un peu plus de frisson.
Je viens de finir de regarder le film, et je suis perplexe.
Mais qu’est ce qu’il veulent dire ces monstres ?
Ya une raison pour tout ca ?
Je comprend pas du tout ?
Je crois que je suis juste déçu en fait.
Je voulais avoir peur, moi !-)
Pour ma part ce film m’a beaucoup fait pensé à Silent hill le film, même si certain élément m’ont sauté aux yeux et j’ai presque tout de suite comprit le concept. Je dois dire que ce film n’était pas mauvais, par contre je ne suis pas convaincu par les monstres, il y aurait eu une autre façon de créer l’atmostphère sans eux. Et la fin aussi n’était pas à mon gout mais sinon sans avoir peur, j’ai apprécier.
En fait, pour ceux qui n’auraient pas compris, les monstres sont les membres du groupe "Lordi". Leur leader (et sûrement pas que lui) rêvait de faire un film d’horreur, c’est la raison d’être de ce film. Sur scène, et partout ailleurs tant que ça concerne leur carrière, ils sont vêtus de ces déguisements.
Le seul intérêt de ce film, à mon avis, c’est le fait que les membres du groupe y participent. Si on ne connait pas Lordi ou qu’on adhère pas à la musique, à mon avis, c’est surtout une perte de temps. Par contre les fans, allez-y, c’est vraiment plaisant. :p
i fai pa peur
l istoire et merdique
les monstre fon plus rire k otre chose
la petite fille raconte ke de la merde et gribouille tt le film
ce film et une grosse daube
Autisme et schyzophrénie _ il y avait là une base intéressante. Le basculement dans un onirisme cauchemardesque via cage d’ascenceur ne bascule hélas très vite que sur un avortement de l’angoisse. Il ne suffit pas de jouer avec des couloirs, des portes et des interphones pour faire du Carpenter ou du Lynch. Quant au bestiaire des monstres, il ne fait que contribuer à tuer le bébé dans l’oeuf. On s’emmerde, au lieu d’angoisser et d’avoir peur. La clôture, enfin, sur un prince des ténèbres en personne plutôt mou, et sur une vision manichéenne de la lumière et des ténèbres, alors que le point de départ était l’autisme, apparaît comme la facilité qu’il aurait fallu absolument éviter. Dommage. La seule chose qui soit vraiment bonne en définitive, c’est les décors, qui auraient pu être l’occasion d’un huit clos infernal.
Pour moi deux etoiles car, une étoile pour le scénario, qui, a mon avis, méritrai d’être "revisiter" pour avoir envie de voir le film jusqu’a la fin car on accroche les 20 première minutes puis on se lasse facilement sauf si on a rien a faire et on retrouve à la fin cette envie dans les dernière minutes qui marque la fin trépidentes de l’intrgues, et une deuxième étoile pour les acteurs et le groupe lordi qui s’est "surpasser" car pour un groupe de musique le film est interressant ( je dit pour un groupe de musique) mais en se qui concerne les acteurs on sent qu’il ne sont pas vraiment "dans" le film surtout en ce qui concerne l’infirmière au moment où elle se fait prendre par les mort vivant dans la morgue on ne sent pas sa tristesse. Je ne conseil pas particulièrement ce film mais pour les fan de lordi où tout simplement p
C un film nul desole mais c’vrai
clair que mieu que ts les teen movie ou une fille nue coure et op elle meure ha mon dieu joane es morte.....
un film de ce genre ce n es pas pr se prendre la tete et a la fin ont comprend l horeur de l enfants
Rrrrr zzzzz....Rrrr zzzz,...Hein ? Quoi ? Le film est fini ?
ca pue grave