Cinemafantastique vous propose une critique jeune des films les plus vieux au plus récents traitant du fantastique dans sa globalité. Horreur, gore, fantômes ...
Un couple de jeunes mariés se rend dans l’ancienne demeure familiale de la jeune femme. Nommée Molly, cette dernière ressent rapidement les effets d’un passé obscur, synonyme de bien des malheurs. Après quelques jours passés dans ce lieu isolé, Molly, aux prises avec une force maléfique, sombre peu à peu dans la dépravation.
Fraîchement mariés et sans le sou, Molly et Tim décident d’emménager dans la maison d’enfance de la jeune femme. Mais le travail de Tim (monsieur est chauffeur routier) va rapidement confronter Molly à ses démons intérieurs, aux souvenirs douloureux infligés par papa et à son petit penchant pour les drogues dures. Le come-back en force de tous ses traumatismes, qu’elle avait crus définitivement enterrés à coups de séjours en psychiatrie, va peu à peu transformer sa vie de jeune mariée en véritable cauchemar…
En 1999, deux jeunes réalisateurs font un carton planétaire avec The Blair Witch Project et donnent un grand coup dans la fourmilière du found footage. Treize ans plus tard, Daniel Myrick erre dans les limbes du DTV (mis à part Solstice et The Objective), et Eduardo Sanchez se cantonne principalement à la production (Midnight Son, Corbeau d’argent au BIFFF 2011, pour n’en citer qu’un).
Attendu comme le retour du messie, Lovely Molly transforme l’essai de Sanchez sans pour autant transcender le genre. Le film débute en forme de clin d’œil à Blair Witch, avec le visage face caméra d’une femme désespérée prête à se taillader le cou au couteau (il ne manque plus que la morve au nez pour compléter le tableau). Le ton est donné, ça va chier dans le ventilo marital !
La première partie tient quasi du chef-d’œuvre : servi par un montage sobre et intelligent, le scénario prend rapidement ses quartiers dans une maison à l’aspect déjà effrayant en soi. Mais au lieu de rouler des mécaniques avec une mise en scène tape-à -l’œil, Sanchez préfère s’ancrer dans le réel, et la lente déréliction de Molly commence ainsi par touches insidieuses, créant une sensation de malaise diffuse mais persistante pour le spectateur (un travail incroyable sur le son et l’économie salutaire de musique pendant les grands moments de flippe !).
Lentement mais sûrement happée par les fantômes du passé – Sanchez et son scénariste attitré Jamie Nash laissent volontairement des zones d’ombre -, Molly coupera peu à peu les ponts avec la réalité, et sa fragilité psychologique laissera une porte grande ouverte à son vice d’antan : l’héroïne.
En sursis dans son charnier rationnel, Molly deviendra bien plus bavarde avec feu son salopard de géniteur qu’avec son propre mari.
Malheureusement, la deuxième partie pèche par paresse et s’encombre de quelques faux-pas scénaristiques (les images de la caméra amateur pourraient défendre la version de Molly, mais elle n’y pense jamais, la petiote), se reposant sur l’échiquier paranoïaque déjà mis en place, et étire ses prémisses sans jamais atteindre de climax pour finalement s’étioler dans un final assez convenu.
Casting impeccable, montage intelligent et admirable boulot sur le son, Lovely Molly a suffisamment d’atouts pour surpasser pas mal de péloches de genre. La réalisation sobre d’Eduardo Sanchez colle à la rétine du spectateur et le bonhomme se montre toujours aussi adroit pour faire exploser le palpitant. Et, si la deuxième partie ne tient pas les promesses de son introduction, il n’en reste pas moins que cette adorable Molly vaut son pesant de flippe.
En regardant un film, je me pose toujours la question : " mais ou est ce que l’auteur souhaite me porter ?"
La, le seul message que j’ai pu voir est le souhait de l’auteur de faire un film sur la frustration qui pourrait ...je dit bien qui pourrait ...pousser une femme à se venger d’un homme qui la trompe. l’adultère ne devrait pas être traité ainsi...
Tout ceci dans la réalisation d’un film qui utilise le cinéma d’épouvante à une fin médiocre et à une histoire plus que frustrée...
Je voudrais me tromper, mais merde !!! ...
Arrêtez de faire des films bizarre qui ne mène à rien a part de donner aux spectateurs des messages d’amour non fondés dans le cadre du cinéma dit "dark" .
ils sont fous ces amér
vraiment naz. Un debut de film extrement long, un milieu ou l’on croit enfin que la machine est lancé et puis finalement... non. jusqu’au bout du film on s’ennuie, on espere, on attend et au final... on ne comprend pas, pas d’explication, pas de fin, mais une porte ouverte et chacun se demerde a s’imaginer la suite....
Un film a classer dans -> dvd a se faire rembourser....
ET MERDE ENCORE UN FILM QUE TU REGARDE ET OU IL NI A PAS DE FIN TROP POURRI JEN EST MARRE DE CES FILM DAUBé JE NE LE CONSEIL A PERSONNE SAUF AUX GENS QUI AIMENT PERDRE LEUR TEMPS !!!!
Quoi ???? c’est ce qui résume le mieux le sentiment que ce film m’inspire...c’étais quoi le but...l’histoire...c quoi au juste...je crois que j ai compris...celui qui a monter le film a oublier certaine scene au montage finale...je vois pas autre chose...et cette fin...et ben c juste pas la fin...y on oublier de mettre la scene finale
Vraiment super film !! Je ne comprends vraiment pas vos commentaires. Dès les 5 premières minutes j’étais dans l’angoisse, et tout s’éclaircis avec le daim !!!
J’ai eu beaucoup de frissons. Cette femme a la vie dure et est victime de sa beauté et ne tombe bien sûr que sur des salauds (le(s) père(s), le mari, le boss)...bien plus profond qu’on ne pourrait le croire au premier abord, les chevaux et le daim ne sont pas là pour rien, la soeur probablement amoureuse et meurtrière du patriarche non plus... un cinéma qui laisse de la place à l’imagination (comme Blair Witch)... c’est sûr c’est pas aussi fermé qu’un paranormal activity
Le réalisateur à voulu faire quoi au juste ? Frustrer les spectateurs ? Merde quoi, ça met une demie heure à commencer et lorsque l’on crois qu’enfin ça va bouger et bien non, quedal ! Aucunes explications !!! Et alors quoi ? On se le demande, que d’hypothèse aucun fondement ! Shit encore un film de merde pfff
Au vu des coms qui précèdent, on comprend qu’attacher un forum à ce site ne serait pas judicieux : inutile d’élargir le terrain d’expression des cons. Lovely Molly n’est pas une "daube" ni un "film de merde", oh bien sûr, c’est un film qui prend son temps, qui renonce au spectaculaire, aux grosses ficelles et aux "explications" qui semblent tant plaire aux plus bornés, mais pour qui sait regarder, qui est doué d’un peu de sensibilité, capable de saisir des motifs psychanalytiques basiques, on tient là non seulement un beau portrait de femme mais un aussi vrai film d’horreur, effrayant et touchant à la fois, ce qui est rare.
En regardant un film, je me pose toujours la question : " mais ou est ce que l’auteur souhaite me porter ?"
La, le seul message que j’ai pu voir est le souhait de l’auteur de faire un film sur la frustration qui pourrait ...je dit bien qui pourrait ...pousser une femme à se venger d’un homme qui la trompe. l’adultère ne devrait pas être traité ainsi...
Tout ceci dans la réalisation d’un film qui utilise le cinéma d’épouvante à une fin médiocre et à une histoire plus que frustrée...
Je voudrais me tromper, mais merde !!! ...
Arrêtez de faire des films bizarre qui ne mène à rien a part de donner aux spectateurs des messages d’amour non fondés dans le cadre du cinéma dit "dark" .
ils sont fous ces amér